The 1929 Crash of the New York Stock Exchange as a Liquidity Crisis Le Krach de 1929 du New York Stock Exchange comme crise de liquidité En Fr

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2024

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HAL SHS (Sciences de l’Homme et de la Société)

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1929 crash Stock market NYSE Financial crisis Liquidity crisis Krach 1929 Marchés financiers NYSE Crise financière Crise de liquidité G - Financial Economics/G.G0 - General/G.G0.G01 - Financial Crises N - Economic History/N.N2 - Financial Markets and Institutions/N.N2.N20 - General, International, or Comparative

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Nouvelle-Amsterdam Nouvelle-Amsterdam (1626-1664)

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Jean-Laurent Cadorel, « Le Krach de 1929 du New York Stock Exchange comme crise de liquidité », HAL SHS (Sciences de l’Homme et de la Société), ID : 10.1111/ehr.13309

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Résumé En Fr

What caused the 1929 crash of the New York Stock Exchange? This paper provides a quantitative study of liquidity in the 1929 crash of the NYSE. I evidence the crash was indeed a liquidity crisis due to the liquidation of brokers’ margin loans.Applying recent estimators of effective spreads and liquidity conditions from contemporary finance literature suggests a fourfold increase in spreads during the crash at the aggregate level. At the individual stock level, quoted bid-ask spreads suggest liquidity explains one-fifth of the variance in daily stock returns in the crash.

Quelles sont les causes immédiates du krach boursier de 1929 à la Bourse de New York ? Cet article présente une étude quantitative de la liquidité dans le krach de 1929 et prouve que le krach était bien une crise de liquidité dûe à des appels de marge sur des prêts des courtiers.En utilisant des estimateurs issus de la littérature financière moderne, cet article met en évidence la sévère détérioration des conditions de marché. Au niveau agrégé, les spreads ont été multipliés par 4. Au niveau des actions individuelles, les écarts entre la meilleure offre et la meilleure vente suggèrent que la liquidité explique un cinquième de la variance des rendements quotidiens des actions au cours de la crise. Grâce à des données intra journalières sur les 80 plus grandes actions, cet article montre que les chutes ont eu lieu aux horaires fixes d'appels de marge.

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