Ovoos on late Qing dynasty Mongol banner maps (late 19 th -early 20 th centuries) Les ovoo sur les cartes de bannières mongoles de la fin des Qing (fin XIXe-début XXe siècles) En Fr

Fiche du document

Date

2021

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.4000/emscat.5237

Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Isabelle Charleux, « Les ovoo sur les cartes de bannières mongoles de la fin des Qing (fin XIXe-début XXe siècles) », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10.4000/emscat.5237


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

Les cartes des bannières de Mongolie-Intérieure et Extérieure, dessinées sur ordre du gouvernement central des Qing au xixe et début du xxe siècle, contiennent un grand nombre de noms et de dessins représentant des ovoo (cairns de pierre ou monticules de terre avec un poteau central, des branchages, des drapeaux ou des flèches, ou troncs d’arbres disposés en forme de cône). Nombre de ces cartes distinguent deux types d’ovoo : les ovoo cultuels et les ovoo marqueurs de frontière ; de plus, nombre de montagnes sont nommées « ovoo ». Cet article soulève des questions sur la dénomination des ovoo, leur représentation par des dessins mimétiques ou des symboles abstraits, le type et la hiérarchie des ovoo et la précision de leur localisation. En se concentrant sur quelques exemples de cartes conservées dans la Staatsbibliothek de Berlin, cet article vise à comprendre le rôle des ovoo dans la représentation d’un territoire.

Les cartes des bannières de Mongolie-Intérieure et Extérieure, dessinées sur ordre du gouvernement central des Qing au xixe et début du xxe siècle, contiennent un grand nombre de noms et de dessins représentant des ovoo (cairns de pierre ou monticules de terre avec un poteau central, des branchages, des drapeaux ou des flèches, ou troncs d'arbres disposés en forme de cône). Nombre de ces cartes distinguent deux types d'ovoo : les ovoo cultuels et les ovoo marqueurs de frontière ; de plus, nombre de montagnes sont nommées « ovoo ». Cet article soulève des questions sur la dénomination des ovoo, leur représentation par des dessins mimétiques ou des symboles abstraits, le type et la hiérarchie des ovoo et la précision de leur localisation. En se concentrant sur quelques exemples de cartes conservées dans la Staatsbibliothek de Berlin, cet article vise à comprendre le rôle des ovoo dans la représentation d'un territoire.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Exporter en