Contextual mobility proof against restricted residential mobility in residential neighborhoods of the National Agency for Urban Renewal (Agence Nationale de Rénovation Urbaine - ANRU) in Angers and Trélazé (France) La mobilité contextuelle à l’épreuve de la mobilité résidentielle contrainte : dans le cadre de la rénovation urbaine des quartiers d’habitat social à Angers et à Trélazé En Fr

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7 décembre 2012

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Nathalie Buchot, « La mobilité contextuelle à l’épreuve de la mobilité résidentielle contrainte : dans le cadre de la rénovation urbaine des quartiers d’habitat social à Angers et à Trélazé », HAL-SHS : architecture, ID : 10670/1.dyhdnf


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Résumé En Fr

Living in one place also implies mobility. This hypothesis was developed over 15 years’experience accompanying the underprivileged in housing issues and lies at the basis ofthe present study, which examines the effects, obstacles and levers involved in restrictedresidential mobility in residential neighborhoods of the National Agency for Urban Renewal(Agence Nationale de Rénovation Urbaine – ANRU) in Angers and Trélazé (France). Lookingat our results in the light of contextual mobility, the close relationship between man andnature becomes apparent. Indeed, the cognitive process connecting mobility and residencecan only take place within a reassuring and calming environment. On the other hand, livingin degraded, depreciated social housing clearly hinders this process. The present study onforced relocation thus demonstrates the need for combining urban planning, social andenvironmental approaches in policymaking.

Habiter, c’est être mobile. C’est à partir de cette hypothèse issue d’une expérienceprofessionnelle de plus de quinze d’ans d’accompagnement au logement auprès de ménagesvulnérables, que s’est engagée une étude sur les effets, les freins et les leviers de la mobilitérésidentielle contrainte sur les quartiers de l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine(ANRU) d’Angers et de Trélazé (France). Associant les résultats de l’étude à la notion dela mobilité contextuelle, se révèle l’étroite relation homme-environnement. En effet, leprocessus cognitif de la mobilité et de l’habiter se met en oeuvre dans une atmosphèresécurisante et apaisante. Or, vivre dans les quartiers d’habitat social dégradé, dévalorisé,empêche cette mise en oeuvre. Ainsi, l’étude du relogement contraint montre la nécessaireconjugaison entre les politiques d’aménagement urbain, les politiques sociales et lespolitiques environnementales.

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