Impacts des échecs contraceptifs et des effets secondaires sur le quotidien d’une quinzaine d’étudiantes de l’université de Lorraine (Metz)

Résumé Fr En

 Cet article a pour objectif d’analyser l’impact des effets secondaires des contraceptions et des échecs contraceptifs dans le quotidien d’une quinzaine d’étudiantes de l’Université de Lorraine. Cette recherche de Master 2 de sociologie, qui ne tend nullement à l’exhaustivité, a montré que les contraceptifs médicaux n’apparaissent plus de nos jours comme un symbole de libération féminine par celles qui les utilisent. Ils sont plutôt appréhendés sous l’ordre de la contrainte et de la nécessité pour les femmes en âge de procréer et pour se protéger contre les grossesses non prévues (GNP), voire d’autres cas comme les MST (les maladies sexuellement transmissibles), etc. Ce qui laisse penser qu’une gestion partagée des pratiques contraceptives dans les couples serait un moyen de remédier à ces phénomènes.

The aim of this article is to analyze the impact of the side effects of contraception and contraceptive failures on daily lives of about fifteen young students at the University of Lorraine. This research of Master 2 of sociology which does not tend to objectivity has showed that medical contraceptives no longer appear today as a symbol of feminine liberation by those who use them. Rather, they are apprehended under the order of coercition and necessity for women of childbearing age and to protect themselves against unintended pregnancies and other cases such as sexuality transmitted diseases. This suggests that shared management of contraceptives practices among couples would be a means of remedying these phenomena.