The training of apprentice welders in non-formal workshops has its own specificities. Drawing on vocational didactics, we address the involvement (Bouchard and Kalubi, 2013) of women in apprenticeships. In these non-formal workshops, the course is original. The relationship to knowledge (Charlot, 2013) is lived through social interaction. These workshops function as knowledge societies, where culture and conceptualization go hand in hand (Vergnaud, 2008). During organized learning, the tutor-trainer becomes a mediator. Although discreet, women also play these roles, alongside their status as wife, mother or neighbor. To understand their involvement in the training process, we adopted an ethno-methodological approach. Content analyses were also carried out. In the final analysis, the workshop is a living space. Women and men play complementary and supportive roles, with multiple effects on the future of young apprentices.
La formación de aprendices de soldador en talleres no formales tiene sus propias características específicas. Inspirándonos en la didáctica profesional, abordamos la implicación (Bouchard y Kalubi, 2013) de las mujeres en el aprendizaje. Estos talleres no formales adoptan un enfoque original. La relación con el saber (Charlot, 2013) se vive a través de la interacción social. Estos talleres funcionan como sociedades del conocimiento donde la cultura y la conceptualización van de la mano (Vergnaud, 2008). Durante las sesiones de aprendizaje organizadas, la tutora-formadora se convierte en mediadora. Aunque discretas, las mujeres también desempeñan estos papeles, junto a su condición de esposa, madre o vecina. Se adoptó un enfoque etnometodológico para comprender su participación en el programa de formación. Se realizaron análisis de contenido. En definitiva, el taller es un espacio de vida. Mujeres y hombres desempeñan papeles complementarios y solidarios, con múltiples efectos en el futuro de los jóvenes aprendices.
La formation des apprentis soudeurs dans des ateliers non formels a des spécificités qui lui sont propres. En nous appuyant sur la didactique professionnelle, nous abordons l'implication (Bouchard et Kalubi, 2013) des femmes dans les apprentissages. Dans ces ateliers non formels, le parcours est original. Le rapport au savoir (Charlot, 2013) s'y vit à travers des interactions sociales. Ces ateliers fonctionnent comme des sociétés de savoirs où culture et conceptualisation vont de pair (Vergnaud, 2008). Lors des apprentissages organisés, le tuteur-formateur devient un médiateur. Bien que discrètes, les femmes jouent aussi ces rôles, parallèlement à leur statut de d'épouse, de mère ou de voisine. Pour comprendre leur implication dans le parcours de formation, une démarche ethnométhodologique a été privilégiée. Des analyses de contenu ont été réalisées. En définitive, l'atelier s'impose comme un lieu de vie. Les femmes et les hommes y tiennent des rôles complémentaires et solidaires, avec des effets multiples sur l'avenir des jeunes apprentis.