Approche empirique de la notion de centralité urbaine : le cas de l'agglomération dijonnaise

Fiche du document

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Bernard Fustier et al., « Approche empirique de la notion de centralité urbaine : le cas de l'agglomération dijonnaise », HAL-SHS : géographie, ID : 10670/1.eay4tm


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

L'analyse spatiale urbaine définit la ville comme un centre économique: centre de marché pour l'arrière pays rural dans le cas de la ville Thlinienne, centre de la région sur laquelle elle étend son influence dans le cas de la ville loschienne ; cette ville-centre est, le plus souvent,considérée comme ponctuelle. Peu d'études sont consacrées par les économistes au centre de la ville. Plus qu'objet d'analyse, celui-ci apparaît comme simple outil des modèles d'analyse spatiale ; ses propriétés résultent de la transposition de celles de la ville-centre : il est donné a priori, et considéré comme ponctuel ; il est le centre du marché urbain ; enfin, sa structure interne échappe à l'analyse urbaine. Localisation et propriétés du centre étant données, il est possible de proposer une explication portant non sur la structure urbaine dans son ensemble, mais sur l'espace (résidentiel) péri-central . Paradoxalement, le rôle fondamental du centre-ville est unanimement reconnu : au niveau de l'ordonnancement urbain, ainsi qu'à celui de la croissance urbaine, dont il est le moteur. Ce rôle privilégié du centre conduit logiquement à l'hypothèse qui sert de base à la présente étude : Centre et Périphérie urbaine ne peuvent être étudiés séparément l'un de l'autre,et toute analyse de la structure et du développement péricentraux doit s 'appuyer sur celle de la structure et du développement centraux - et réciproquement.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en