Dans le conte, la clef : le pouvoir libérateur des contes dans La Passe-miroir et Biotanistes

Fiche du document

Date

4 juin 2022

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Florie Maurin, « Dans le conte, la clef : le pouvoir libérateur des contes dans La Passe-miroir et Biotanistes », HAL SHS (Sciences de l’Homme et de la Société), ID : 10670/1.ed5b2b...


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

La Passe-miroir de Christelle Dabos et Biotanistes d’Anne-Sophie Devriese sont des romans de fantasy Young Adult ultracontemporains mettant en scène le futur de notre monde. Dans chacune des œuvres, des contes de fées s’offrent aux lecteurs et lectrices. Ulysse (Biotanistes) est colporteur et transmet des réécritures de contes au gré de ses voyages, tandis qu’Ophélie (La Passe-miroir) est quelques temps vice-conteuse à la cour du Seigneur Farouk. Dans ces romans, les contes deviennent des clefs. D’une part, leur fonction symbolique permet la transmission de messages cachés, voire codés, visant à faire progresser l’intrigue. D’autre part, ces histoires sont aussi des clefs dans le sens où elles visent à libérer les personnages, prisonniers de leur condition ou de leur environnement. Mais les contes semblent également attester d’un pouvoir démiurgique et participent à la naissance de nouveaux mondes. Tout en interrogeant la place du conte et son fonctionnement dans la narration des romans, nous nous intéresserons aux pouvoirs libérateurs, politiques et créateurs de ces brefs récits devant amener à « renverser l’Ordre ».

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines