Les souverains normands, souabes et angevins et l’identité de la noblesse romaine

Fiche du document

Auteur
Date

2006

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Persée

Organisation

MESR

Licence

Copyright PERSEE 2003-2024. Works reproduced on the PERSEE website are protected by the general rules of the Code of Intellectual Property. For strictly private, scientific or teaching purposes excluding all commercial use, reproduction and communication to the public of this document is permitted on condition that its origin and copyright are clearly mentionned.



Citer ce document

Jean Martin, « Les souverains normands, souabes et angevins et l’identité de la noblesse romaine », Publications de l'École Française de Rome (documents), ID : 10670/1.efdf9a...


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Les rapports des souverains de Sicile avec la noblesse romaine ont commencé à l’époque normande (relations de Roger Ier et Roger II avec les Pierleoni). Ils se sont diversifiés sous Frédéric II, mais dans le cadre exclusif de la lutte de l’empereur contre Grégoire IX. Manfred a utilisé les services de gibelins romains ; c’est toutefois Charles Ier d’Anjou, sénateur de Rome, qui a attiré dans le Royaume des membres de familles romaines, baronniales ou non, en leur concédant fiefs et avantages, mais pas de pouvoir réel. À l’époque de Charles II, l’autonomie croissante de l’aristocratie méridionale attire de nouveaux candidats (Orsini, Caetani). Alors que Frédéric II considérait les nobles romains (cives Romani) comme les soutiens historiques de l’empire, à l’époque angevine, l’aristocratie romaine qui s’enracine dans le Royaume est de plus en plus assimilée à la noblesse régnicole.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines