12 avril 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Jacques Poirier, « Le Pas grand-chose et le presque rien », Presses Sorbonne Nouvelle, ID : 10670/1.ehndey
« Ce que je voudrais, […] c’est montrer l’histoire non pas d’un personnage, mais d’un endroit – tiens, par exemple, d’une allée de jardin, comme celle-ci, raconter ce qui s’y passe – depuis le matin jusqu’au soir », déclare Lucien dans Les Faux-Monnayeurs. Sur le mode humoristique et poétique, c’est un peu le projet de Claude Ponti quand, dans Georges Lebanc, il évoque le destin d’un banc public qui, de quai en square, regarde vivre l’humanité. Référence qui mesure ce qu’a d’un peu dérisoire ...