Les idées directrices de ma théorie scientifique de la connaissance et leur réception par mes contemporains

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2023

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Ernst Mach et al., « Les idées directrices de ma théorie scientifique de la connaissance et leur réception par mes contemporains », Philosophia Scientiæ, ID : 10670/1.ep06t3


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Résumé Fr En

Traduction de l’article de Ernst Mach, « Die Leitgedanken meiner naturwissenschaftlichen Erkenntnislehre und ihre Aufnahme durch die Zeitgenossen » [Les idées directrices de ma théorie scientifique de la connaissance et leur réception par mes contemporains], paru dans Scientia, 7 (1910), p. 225–240. Dans la première partie du texte, Mach expose sa théorie économico-biologique de la connaissance en en retraçant la genèse, des premières années de sa formation intellectuelle jusqu’à la rédaction de ses derniers ouvrages. Il indique également les points de rapprochement possibles avec les doctrines de certains physiciens, mais aussi avec celles de philosophes dont il s’estime particulièrement proche. Dans la seconde partie du texte, Mach répond point par point à la polémique amorcée par Planck et donne ainsi une image plus complexe de sa pensée, loin du dogmatisme que l’on associe ordinairement au positivisme.

Translation of the article by Ernst Mach, “Die Leitgedanken meiner naturwissenschaftlichen Erkenntnislehre und ihre Aufnahme durch die Zeitgenossen” [The guiding ideas of my scientific theory of knowledge and their reception by my contemporaries], published in Scientia, 7 (1910), pp. 225–240. In the first part of the text, Mach presents his economic-biological theory of knowledge, outlining its genesis in the early years of his intellectual training right up to its later development in the writing of his last works. He also points out the possible points of convergence with the doctrines of certain physicists and with those of philosophers to whom he feels particularly close. In the second part of the text, Mach responds to each point brought up by the polemic initiated by Planck and thus gives a more complex picture of his thought that is far from the dogmatism usually associated with positivism.

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