Enseignement agricole : insertion des lycéens professionnels et étudiants de niveau CAPa à BTSA, six mois après leur sortie d’études en 2023: 50 % sont en emploi salarié en janvier 2024
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2025
- ISIDORE Id: 10670/1.f4688f...
- halshs: halshs-04989801
- doi: 10.48464/ni-25-11
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Mots-clés
diplôme du second degré Enseignement du second degré élève du 2nd degré Enseignement professionnel Enseignement agricole Insertion professionnelle Inserjeunes Niveau de diplôme Niveau de qualification baccalauréat agricole certificat d'aptitudes professionnelles agricoles brevet de technicien supérieur agricole Baccalauréat professionnel Taux d'emploi Sortie sans diplôme Diplôme Salarié Non salarié Lycéen étudiant domaine des services domaine de la production agricole Sexe & genre Origine socialeSujets proches
Main d'œuvre Marché du travail Marché de l'emploi Flexibilité de l'emploi Emploi, Théorie économique de l' Théorie économique de l'emploi emploi-fonction fonction fonction-emploi métier professionCiter ce document
Robin Antoine et al., « Enseignement agricole : insertion des lycéens professionnels et étudiants de niveau CAPa à BTSA, six mois après leur sortie d’études en 2023: 50 % sont en emploi salarié en janvier 2024 », HAL SHS (Sciences de l’Homme et de la Société), ID : 10.48464/ni-25-11
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Résumé
Parmi les lycéens professionnels et étudiants de niveau CAPa à BTSA inscrits en dernière année d’un cycle d’études en 2022-2023 dans un établissement agricole public ou privé sous contrat, la moitié (51 %) sont toujours en formation l’année suivante. Parmi ceux ne poursuivant pas d’études (49 %), la moitié sont en emploi salarié six mois après leur sortie du système scolaire en 2023. En janvier 2024, parmi les jeunes hommes sortant de formation, 52 % sont en emploi. Cette proportion est de 48 % pour les jeunes femmes.Avec un taux d’emploi de 14 %, ces dernières s’insèrent davantage dans le secteur public que les jeunes hommes (9 %), qui eux s’insèrent plus dans le secteur privé, avec un taux d’emploi à 43 %, contre 34 % pour les jeunes femmes. L’insertion est meilleure pour les sortants d’une formation relevant de la catégorie de la « production agricole » que de celle des « services » (52 % contre 46 %).
