The use of underground storage organs in the Early Neolithic (Linearbandkeramik and Blicquy/Villeneuve-Saint-Germain) in the Paris Basin: the contribution of starch grain analyses

Fiche du document

Date

2023

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.4000/ethnoecologie.9919

Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Clarissa Cagnato et al., « The use of underground storage organs in the Early Neolithic (Linearbandkeramik and Blicquy/Villeneuve-Saint-Germain) in the Paris Basin: the contribution of starch grain analyses », HALSHS : archive ouverte en Sciences de l’Homme et de la Société, ID : 10.4000/ethnoecologie.9919


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

Underground storage organs are poorly preserved in the archaeological record, and as a result their contribution to the diet of ancient societies is poorly understood. Starch grain analysis is a well-established methodology used in archaeology to reveal the use of various plants, including tubers, rhizomes, and roots. This paper presents the results of a study of starch grains recovered from millstones from various archaeological sites located in the Paris Basin. Our results highlight the use of tubers by these first agricultural populations at the beginning of the Neolithic (Linearbandkeramik and Blicquy-Villeneuve-Saint-Germain; 5200-4700 BC), providing new data on their contribution to the diet of agro-pastoral societies.

Les organes souterrains de stockage sont mal conservés dans les archives archéologiques et, par conséquent, leur contribution au régime alimentaire des sociétés anciennes est mal comprise. L'analyse des grains d'amidon est une méthodologie bien établie en archéologie pour révéler l'utilisation de diverses plantes, y compris les tubercules, les rhizomes et les racines. Cet article présente les résultats d'une étude des grains d'amidon prélevés sur des meules provenant de différents sites archéologiques du Bassin parisien. Nos résultats mettent en évidence l'utilisation des tubercules par les premières populations agricoles au début du Néolithique (Linearbandkeramik et Blicquy-Villeneuve-Saint-Germain ; 5200-4700 av. J.-C.), apportant de nouvelles données sur leur contribution au régime alimentaire des sociétés agro-pastorales.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines