De la passivité à la figurabilité de l’affect : Freud dans les enseignements de Merleau-Ponty au Collège de France

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4 décembre 2018

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Thamy Ayouch, « De la passivité à la figurabilité de l’affect : Freud dans les enseignements de Merleau-Ponty au Collège de France », HAL-SHS : philosophie, ID : 10670/1.f83fqc


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De 1952 à 1961, Merleau-Ponty occupe en effet la chaire de philosophie au Collège de France, et dispense des cours les lundis et jeudi. Ces enseignements présentent une recherche en action, évoluant depuis une phénoménologie de la perception jusqu’à une philosophie de la chair. Conjointement à nombre de théoriciens, Freud est convoqué pour être intégré aux réflexions du philosophe. Cela ne va toutefois pas sans une certaine relecture des notions freudiennes, puisque si la psychanalyse impose l’évidence de ses hypothèses, certains concepts freudiens nécessitent, soutient Merleau-Ponty, d’être reformulés « dans une meilleure philosophie » .L'article aborde dans un premier temps l’évolution des travaux du philosophe telle qu’en attestent les cours au Collège de France, pour voir alors comment les références à Freud et à la psychanalyse s’y inscrivent. Il examine ensuite le rôle de ces notions freudiennes dans la construction d’une phénoménologie de l’affectivité prêtée à Merleau-Ponty, et dans laquelle les cours au Collège de France assurent une fonction centrale.

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