L’attachement aux animaux de compagnie revisité / Attachment to Pets Revisited

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2024

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Cécile Brousse et al., « L’attachement aux animaux de compagnie revisité / Attachment to Pets Revisited », Economie et Statistique (documents), ID : 10.24187/ecostat.2024.543.2120


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Il est depuis longtemps établi que les personnes seules sont les moins susceptibles de posséder un animal de compagnie. L’enquête Emploi du temps de 2010 confirme cette loi et permet en outre d’étudier les activités et le temps partagés avec les animaux de compagnie. Elle permet aussi d’analyser les termes que l’on emploie pour décrire les activités faites avec eux. Nous montrons que les personnes seules qui possèdent un animal de compagnie passent plus de temps avec lui, notamment à jouer. Nous montrons également que les femmes et les personnes âgées utilisent plus que les autres un vocabulaire d’un registre qu’on pourrait qualifier d’« anthropomorphique » pour décrire la place de leurs animaux dans leur quotidien. Cela explique que les personnes seules utilisent plus que les autres un vocabulaire « anthropomorphique » puisqu’elles sont plus souvent des femmes et des personnes âgées.

It has long been perceived wisdom that single people are those least likely to own a pet. The 2010 Emploi du temps (Time Use) survey confirms this pattern, while also making it possible to examine the activities and time shared with pets. It also allows an analysis of the terms people use to describe the activities carried out with their pets. We show that single people who own a pet spend more time with it, especially playing together with it. We also show that women and the elderly use language from a register that could be described as “anthropomorphic” to describe the way their pets fit into their daily lives more than other groups. It explains why single people use “anthropomorphic” language more than others, since they are more likely to be women and elderly people.

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