Faire sa médecine au XVIIIe siècle: Recrutement et devenir professionnel des étudiants montpelliérains (1707-1789)

Fiche du document

Date

2013

Discipline
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Hélène Berlan, « Faire sa médecine au XVIIIe siècle: Recrutement et devenir professionnel des étudiants montpelliérains (1707-1789) », HAL-SHS : histoire, ID : 10670/1.fcbids


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Pour les hommes du Siècle des lumières, la faculté de médecine de Montpellier a toujours représenté l’excellence. Au cours de cette période, ce sont près de 5 000 étudiants, régnicoles et étrangers qui s’y pressent ; leur nombre s’accroît d’ailleurs de façon significative au cours de la seconde moitié du XVIIIe siècle pour faire de Montpellier, la première faculté, devant Paris et ses consœurs provinciales.Ce travail invite à découvrir les parcours individuels et les stratégies des étudiants qui ont fréquenté ce centre avant de se lancer dans une carrière médicale prometteuse à une époque où la science en général et la médecine en particulier acquièrent leurs titres de noblesse. Faire sa médecine à Montpellier c’est aussi apprendre à faire corps et à le défendre face aux attaques : se réapproprier l’espace médical des campagnes, lutter contre le charlatanisme et participer aux grands débats scientifiques du moment qui présagent de la mise en place future d’une « politique de santé publique ». C’est aussi se présenter à l’aube d’un Nouveau Régime avec des compétences et des talents, Montpellier ayant formé, à la veille de la Révolution, la moitié des médecins du royaume.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en