Ciudad tomada de Mauricio Montiel Figueiras o la ciudad-laberinto

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26 mai 2023

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Marisol NAVA HERNÁNDEZ, « Ciudad tomada de Mauricio Montiel Figueiras o la ciudad-laberinto », Fédérer Langues, Altérité, Marginalités, Médias, Éthique, ID : 10.25965/flamme.769


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Ciudad tomada (2013) incluye once cuentos de Mauricio Montiel Figueiras. La mayoría de sus tramas se ubican en una ciudad innominada. Con base en el concepto de topoiesis, que implica analizar el sistema de significación de los componentes y de las relaciones espaciales de una obra para interpretarla, estudiaremos el tema de la ciudad construida por diferentes semas: rascacielos, departamentos, penthouse, el metro y sus estaciones, supermercado, zoológico, avenidas, calles y parques. La interpretación de esta construcción semiótica espacial conduce al tópico del laberinto que funge como eje temático de todo el libro, pues los espacios, los personajes y las situaciones están inmersos en una estructura laberíntica, donde prevalecen la confusión, los enigmas y una isotopía que alude al aislamiento, el abandono y lo repetitivo. Una parte relevante de este estudio analiza las metáforas que el autor utiliza para referirse a la ciudad, las cuales complementan el análisis de la topoiesis, pues suponen un enfoque sensorial de lo que representa vivir en una ciudad-laberinto, en una ciudad tomada por la deriva y el extravío.

Ciudad tomada (2013) comprend onze nouvelles de Mauricio Montiel Figueiras. La plupart de ces récits sont se déroulent dans une ville sans nom. À partir du concept de « topoiesis » qui implique l’analyse du système de sens des composants et des relations spatiales d’une œuvre pour l'interpréter, nous étudierons le thème de la ville, construit par différents sèmes : des gratte-ciel, des appartements, un penthouse, le métro et ses stations, un supermarché, un zoo, des avenues, des rues et des parcs. L’interprétation de cette construction sémiotique spatiale conduit au thème du labyrinthe qui sert d'axe thématique à tout le livre, puisque les espaces, les personnages et les situations sont immergés dans une structure labyrinthique, où règne la confusion, des énigmes et une isotopie qui fait allusion à l’isolement, à l’abandon et à la répétition. Une partie importante de cette étude consiste à analyser les métaphores que l'auteur utilise pour se référer à la ville. Elles complètent l'analyse de la « topoiesis », puisqu’elles supposent une approche sensorielle de ce que signifie vivre dans une ville-labyrinthe, dans une ville prise par la dérive et la perte.

Ciudad tomada (2013) includes eleven stories by Mauricio Montiel Figueiras. Most of its plots are located in an unnamed city. Based on the concept of “topoiesis”, that implies analyzing the meaning system of the components and the spatial relationships of a work to interpret it, we will study the issue of the city as built by different semes: skyscrapers, apartments, a penthouse, the subway and its stations, a supermarket, zoo, avenues, streets and parks. The interpretation of this spatial semiotic construction leads to the topic of the labyrinth that serves as the thematic axis of the entire book, since the spaces, the characters and the situations are immersed in a labyrinthine structure, where confusion, enigmas and an isotopy that alludes to isolation, abandonment and repetition prevails. A relevant part of this study analyses the metaphors that the author uses to refer to the city and which complement the analysis of “topoiesis”, since they represent a sensory approach to what it means to live in a city-labyrinth, in a city taken by drift and loss.

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