Prenant à la fois appui sur le fait clinique de l’angoisse surgissant à l’arrêt de la prise du produit, et sur la fonction logique du symptôme dans la structure, l’auteur soutient que la « toxicomanie » n’est pas une solution symptomatique. L’apparition de l’intoxication, fréquente au temps dit de « l’adolescence », pose la question d’un second temps du symptôme, temps qui serait évité par le sujet qui choisirait de fuir dans une jouissance non phallique, évitant d’assumer la rencontre avec l’Autre sexe et le non-rapport sexuel, soit reculerait devant la castration.
Taking both supports the clinical fact of anxiety arising to stop taking the product, and the logical function of symptoms in the structure, the author argues that "addiction" is not a solution symptomatic. The appearance of intoxication, said common time of adolescence, the question a second time of symptom, time that would be avoided by the subject who chose to flee to a non-phallic enjoyment, avoiding to take encounter with the Other Sex and the non-intercourse, or shrink from the castration.
Teniendo tanto apoya el hecho clínico de ansiedad derivados de dejar de tomar el producto, y la función lógica de los síntomas en la estructura, el autor argumenta que la "adicción" no es una solución sintomático. La aparición de la intoxicación, el tiempo de frecuencia llamada "adolescencia", plantea la pregunta por segunda vez desde el síntoma, el tiempo que se evitarían con el tema que eligieron acudir a un goce no fálico, evitando la asumir el encuentro con el otro sexo y la relación sexual no, o se encogen de la castración.