L'Alléluia des femmes-jardins : perspectives écoféministes dans quelques oeuvres de Jamaica Kincaid et Gisèle Pineau

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D'Orlando Natacha et al., « L'Alléluia des femmes-jardins : perspectives écoféministes dans quelques oeuvres de Jamaica Kincaid et Gisèle Pineau », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.fnkgyi


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Résumé Fr

Cet article interroge les représentations de la nature et du paysage dans quelques œuvres des romancières Jamaica Kincaid et Gisèle Pineau. Nous nous demanderons particulièrement s’il est possible d’articuler ces diverses images de la nature avec certains des principes posés par les chercheuses et les militantes écoféministes concernant l’articulation pratique et théorique entre femme et nature. Dans un premier temps, nous nous pencherons sur les deux fondements théoriques et esthétiques de l’alliance femme/nature – naturalisation des femmes et féminisation de la nature – et sur la manière dont cette analogie se reproduit et se reconfigure chez les poètes et romanciers caribéens. Reprise pour être transformée, l’analogie prend chez Gisèle Pineau et Jamaica Kincaid une charge ironique, contestataire ou subversive. Nous verrons enfin comment ces pratiques féminines, voire féministes, de la nature trouvent un écho littéraire dans l’utopie écoféministe qu’imagine Gisèle Pineau dans son roman Morne Câpresse.

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