Le drame subjectif d’un savant : Georg Cantor

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2015

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Erik Porge, « Le drame subjectif d’un savant : Georg Cantor », Le Coq-héron, ID : 10670/1.fnsc2x


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Cantor a été jusqu’à une pointe extrême de mise en question du sujet supposé savoir (à laquelle on peut arriver au terme d’une analyse) et dans le défaut de garantie qu’il a alors rencontré, il a produit des énoncés délirants sur la paternité. Nous faisons l’hypothèse que ses délires représentent l’envers d’un moment de division du sujet entre vérité et savoir. Dans le délire il croit ce que ses « illuminations » lui démontrent. Là où, en mathématique, il voyait un résultat qu’il ne pouvait pas croire, il a cru ses délires. Ce faisant, là où il y avait un trou dans le savoir, il a, dans un mouvement tourbillonnaire, « recraché » des noms du père, du fait même de leur voisinage avec la problématique du sujet supposé savoir.

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