10 novembre 2020
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Benjamin Bokobza, « Courtin, héritier et censeur des Maximes de La Rochefoucauld dans le Traité de la paresse (1677) », HAL-SHS : littérature, ID : 10.15122/isbn.978-2-406-11066-8.p.0159
Courtin admire La Rochefoucauld, qu’il cite, et dont il hérite parfois plus secrètement. Mais la confrontation des différentes leçons du Traité de la paresse, et les préférences en matière de rhétorique qu’il exprime dans le Nouveau traité de la civilité et le manuscrit inédit de L’Art de devenir éloquent, témoignent de l’ambivalence de son jugement : il s’agira de voir comment Courtin explicite, moralise, et, semble-t-il, réécrit discrètement un texte qu’il juge aussi éclairant que dangereux.