Le drame de Champagnac (1890)

Fiche du document

Date

1890

Type de document
Langue
Identifiant



Citer ce document

Le Petit Parisien. Supplément littéraire illustré, « Le drame de Champagnac (1890) », Criminocorpus : sources pour l'histoire de la justice, des crimes et des peines, ID : 10670/1.g4wcmf


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

Pierre Grasset - un domestique d’une vingtaine d’années travaillant chez les époux Pouzy (de riches paysans de la Haute-Vienne demeurant dans le village de Lachaux, commune de Champagnac) - entretient une relation amoureuse avec leur fille (Françoise Pouzy) âgée d’une quinzaine d’années. Cette dernière accouchera d’un enfant qui mourra à la naissance, ce qui conduira ses parents à renvoyer Grasset. Cependant, ce dernier va prendre l’habitude de continuer à rendre visite à Françoise Pouzy en escaladant la fenêtre de sa chambre. En ayant été avertis par une cousine, les parents Pouzy et leur fils (Martial) le surprennent dans la nuit du 9 au 10 octobre 1890. Tandis que Martial éclaire l’endroit à l’aide d’une chandelle, son père Jean étrangle Grasset et sa mère lui brise le crâne à l’aide d’un bâton. Au début du mois de novembre 1890, les trois meurtriers sont acquittés par la Cour d’Assise de la Haute-Vienne dont le verdict suscite alors des clameurs d’indignations de l’auditoire.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en