Anthony Bale, and A. S. G. Edwards (eds.), " John Lydgate Live of Ss Edmund & Fremund and the Extra Miracles of St Edmund, ed. from British Library ms. Harley 2278 and Bodleian Library ms. Ashmole 46 ", Heidelberg, Universitätsverlag Winter, 2009 ; 1 vol. in-8o, 197 p. (Middle English Texts, 41). ISBN : 978-3-8253-5629-3

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2011

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Stephen Morrison, « Anthony Bale, and A. S. G. Edwards (eds.), " John Lydgate Live of Ss Edmund & Fremund and the Extra Miracles of St Edmund, ed. from British Library ms. Harley 2278 and Bodleian Library ms. Ashmole 46 ", Heidelberg, Universitätsverlag Winter, 2009 ; 1 vol. in-8o, 197 p. (Middle English Texts, 41). ISBN : 978-3-8253-5629-3 », HAL-SHS : littérature, ID : 10.3917/rma.171.0117


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Résumé Fr

Le poète anglais John Lydgate (ca 1370-1449) composa ses Lives of Ss Edmund & Fremund (= EF) à la demande de William Curteys, son abbé, pour commémorer le séjour à l'abbaye bénédictine de Bury St Edmunds du jeune roi Henry VI entre décembre 1443 et Pâques 1444. Peu de temps après, et avant l'arrivée d'Henry, trois miracles supplémentaires, les Extra Miracles, ont été ajouté au texte principal. C'est cet ensemble qui est édité et commenté par les É. Le EF subsiste aujourd'hui en treize manuscrits, y compris les fragments. Le manuscrit de base (qui ne contient que le texte de EF) choisi par les É., le Londres, British Library, ms. Harley 2278 (A) fut la copie préparée pour Henry VI lui-même probablement avant 1444. Les É. lui confère donc, avec raison, une position de supériorité vis-à-vis les autres témoins manuscrits. Décoré de 118 miniatures, dont aucune n'est reproduite dans cette édition, LONDRES, British Library, ms. Harley 2278 figure parmi les manuscrits les plus somptueux du XVe siècle, manuscrit commandité et destiné à honorer le souverain du pays. L'arrière-plan historique n'est pas évoqué de façon formelle dans cette édition. Le roi Edmund meurt sur les champs de bataille en 869, luttant contre une armée de Vikings. Sa sainteté, assurée par la préservation miraculeuse de son corps, fut reconnu par le moine Ælfric vers l'an mil dans ses Lives of Saints. Il est donc évident que le renom du saint et ses liens avec la fondation religieuse (un monastère) qui a accueilli ses restes ne datent pas du XVe siècle.

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