Housing (In)Equity and the Spatial Dynamics of Homeownership in France: A Research Agenda

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2021

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Renaud Le Goix et al., « Housing (In)Equity and the Spatial Dynamics of Homeownership in France: A Research Agenda », HAL-SHS : économie et finance, ID : 10.1111/tesg.12460


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Résumé En Fr

This paper advances a research agenda on how asset-based welfare policies, residential marketvolatility, stratified accumulation and vulnerability impinge upon the geography of inequality inproperty markets. Since the mid-1990s, housing prices have increased faster than the incomeof buyers, becoming a driver of social polarisation and household vulnerability. Few studieshave however explicitly linked socio-spatial inequality to asset capitalisation, instability andvulnerability in residential housing markets. We employ an empirically-grounded investigationof the factors driving and reinforcing these dynamics, what we conceptualise as a feedback loopmediating particular housing finance regimes. Drawing on three French cities (Paris, Lyon,and Avignon) our study develops a comparative framework to interpret the relational effectsof price, equity and homeowner vulnerability on the production of inequality across differentgeographical scales. Our approach puts into conversation debates concerning housing markets,social inequality, and ordinary financialisation in the period since the Global Financial Crisis.

Cet article développe un agenda de recherche portant sur la la géographie des inégalités sur les marchés immobiliers, influencée par les politiques de protection sociale fondées sur les actifs, la volatilité du marché résidentiel, les logiques d’accumulation socialement et spatialement stratifiées, et la vulnérabilité induite des ménages. Depuis le milieu des années 1990, les prix des logements ont augmenté plus rapidement que les revenus des acheteurs, devenant un facteur de polarisation sociale et de vulnérabilité des ménages devant l’accès au logement. Peu d'études ont cependant explicitement établi un lien entre l'inégalité socio-spatiale et la capitalisation des actifs d’une part, l'instabilité et la vulnérabilité des marchés immobiliers résidentiels d’autre part. Partant d’un étude empirique des facteurs qui entraînent et renforcent ces dynamiques, notre cadre conceptuel est celui d’une boucle de rétroaction entre des régimes particuliers de financement du logement. En s'appuyant sur trois villes françaises (Paris, Lyon et Avignon), notre étude développe un cadre comparatif pour interpréter les effets du prix, de la valeur nette et de la vulnérabilité des propriétaires sur la production d'inégalités à différentes échelles géographiques. Notre approche met en débat les analyses du marchés du logement, l'inégalité sociale et la financiarisation ordinaire dans la période qui a suivi la crise financière mondiale.

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