A Made-in-Canada Second Language Framework for K-12 Education: Another Case Where No Prophet is Accepted in their Own Land

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2020

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Canadian Journal of Applied Linguistics ; vol. 23 no. 2 (2020)

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Copyright (c), 2020Monique GabrielleBournot-Trites, LucasFriesen, CarlRuest, Bruno D.Zumbo



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Monique Gabrielle Bournot-Trites et al., « A Made-in-Canada Second Language Framework for K-12 Education: Another Case Where No Prophet is Accepted in their Own Land », Canadian Journal of Applied Linguistics / Revue canadienne de linguistique appliquée, ID : 10.37213/cjal.2020.30434


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Résumé En Fr

To ensure quality of education, a language framework should be the foundation on which second language curricula are developed. In 2010, the Council of Ministers of Education, Canada (CMEC), as suggested by Vandergrift (2006a, 2006b), recommended the use of the Common European Framework of Reference (CEFR) in the K-12 Canadian school context and presented several considerations for adaptation before it should be adopted and used. Although the CEFR is partially used across Canada, few of the CMEC’s considerations have been met to date. Given this state of affairs, we suggest the made-in-Canada, Canadian Language Benchmarks and les Niveaux de compétence linguistique canadiens (CLB/NCLC) as an alternative. We argue that the CLB/NCLC, profoundly revised in 2012, best embrace the Canadian context and, using Vandergrift’s criteria for a valid language framework, that CLB/NCLC are now superior to the CEFR in many aspects.

Pour garantir une éducation de qualité, un cadre linguistique devrait être l’assise sur laquelle les programmes de langue seconde sont élaborés. En 2010, le Conseil des ministres de l’Éducation, Canada (CMEC), comme l’a suggéré Vandergrift (2006a, 2006b), a recommandé l'utilisation du Cadre européen commun de référence (CECR) dans le contexte scolaire canadien et a présenté plusieurs considérations pour son adaptation avant qu’il ne soit adopté et utilisé. Bien que le CECR soit partiellement utilisé au Canada, peu des considérations du CMEC ont été introduites à ce jour. Compte tenu de cet état de fait, nous suggérons l’alternative canadienne, les Canadian Language Benchmarks et les Niveaux de compétence linguistique canadiens (CLB/NCLC). Nous soutenons que les CLB/NCLC, profondément révisés en 2012, correspondent le mieux au contexte canadien et, en utilisant les critères de Vandergrift pour un cadre linguistique valide, que les CLB/NCLC sont maintenant, à bien des égards, supérieurs au CECR.

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