De l’autobiographie à l’autofiction cinématographiques : l’art du double je(u)

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16 novembre 2016

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Rémi Fontanel, « De l’autobiographie à l’autofiction cinématographiques : l’art du double je(u) », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10670/1.h4zxqm


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Cette réflexion s'est penchée sur ce qui est en jeu lorsqu’un cinéaste décide, dans une démarche autobiographique, d’interpréter son propre "rôle" ou au contraire de le déléguer à un acteur. Un tel projet nécessite d’interroger ce qu’engage sa présence physique sur les plans auctorial et actoral et ce, dans l’idée de la construction d’une (nouvelle) image de soi. Furent interrogés certains aspects propres à l’autobiographie cinématographique fictionnelle notamment axés sur le problème du corps et plus largement sur celui de l’incarnation qui est l’un des points importants dès que l’on souhaite s’intéresser au « récit de soi mis en images ». Furent également sont abordés quelques exemples précis qui ouvrent à la possibilité d’un double JE(U) – J.E et JE.U – et ainsi à diverses formes autofictionnelles du « récit-en-image de soi ».

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