A joined venture: two Early Neolithic houses re-interpreted by chemical field tests and archaeobotany (Mosel valley, France/Luxembourg) Une entreprise commune : deux maisons du Néolithique ancien réinterprétées par des tests chimiques sur le terrain et par l’archéobotanique (vallée de la Moselle, France/Luxembourg) En Fr

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29 novembre 2023

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Kai Fechner et al., « Une entreprise commune : deux maisons du Néolithique ancien réinterprétées par des tests chimiques sur le terrain et par l’archéobotanique (vallée de la Moselle, France/Luxembourg) », HAL-SHS : archéologie, ID : 10.34692/ze1a-pb07


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Résumé En Fr

The internal functional subdivision of some early Neolithic longhouses of the Bandkeramik culture has benefited from the results based on the observations of the sediment, chemical field tests and the sieving of the content of the post-holes, looking for carbonized plant remains. Based on the experimental work of Peter Reynolds (1995), we use the top part of the post-holes as a source of information about activities that took place in their immediate neighbourhood. In some cases, both sedimentary and botanical approaches have revealed clear differences in the results according to the part of the house, as well as a good contrast with the results outside de building. Taking into account regional and architectural specificities of the studied houses, more precise and additional internal functional subdivisions are proposed, as well as new hypotheses about specific activities related to them. We propose to compare the two used proxies with the archaeological hypotheses about functional subdivisions of early Neolithic houses that are based on other approaches.

La subdivision fonctionnelle interne de certaines maisons longues du Néolithique ancien de la culture Bandkeramik a bénéficié des résultats basés sur l’observation des sédiments, des tests chimiques de terrain et du tamisage du contenu des trous de poteau, à la recherche de restes végétaux carbonisés. Sur la base des travaux expérimentaux de Peter Reynolds (1995), nous utilisons la partie supérieure des trous de poteau comme source d’information sur les activités qui se sont déroulées dans leur voisinage immédiat. Dans certains cas, les approches sédimentaires et botaniques ont révélé de nettes différences dans les résultats en fonction de la partie de la maison, ainsi qu’un bon contraste avec les résultats à l’extérieur du bâtiment. En tenant compte des spécificités régionales et architecturales des maisons étudiées, des subdivisions fonctionnelles internes plus précises et supplémentaires sont proposées, ainsi que de nouvelles hypothèses sur les activités spécifiques qui y sont liées. Nous proposons de comparer les deux méthodes utilisées avec les hypothèses archéologiques sur les subdivisions fonctionnelles des maisons du Néolithique ancien qui sont basées sur d’autres approches.

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