Au-delà de la symbiose : le rôle des exclusions primaires dans la psychose schizophrénique

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2016

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Zefiro Mellacqua et al., « Au-delà de la symbiose : le rôle des exclusions primaires dans la psychose schizophrénique », Actualités en analyse transactionnelle, ID : 10670/1.hi0bxn


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Cet article se fonde sur des années d’expérience clinique avec des patients psychotiques adultes, certains souffrant de psychose chronique et d’autres vivant leur premier épisode de schizophrénie. Ces patients vivent dans le sud-est de Londres, dans le quartier de Lambeth, reconnu pour afficher un des taux de psychose les plus élevés du Royaume-Uni et sans doute d’Europe (Kirkbride et al., 2006). L’auteur commence par décrire l’avis de Berne (1971a) sur la scission2 et sa théorie plus tardive sur les exclusions du Parent (Berne, 1971b) créatrices de psychose active. Il suggère ensuite que la schizophrénie est un trouble lié à un traumatisme relationnel, et non le seul résultat de la symbiose (Schiff, 1975), ni le produit de conflits intrapsychiques (Novellino, 1991, 1998, 2004 ; Novellino & Moiso, 1990) et de contaminations complexes (Goulding & Goulding, 1979). L’auteur avance que la schizophrénie implique des exclusions structurales multiples et profondes qui causent des lacunes précoces du Parent dans l’état du moi Enfant (P0 et P1), et qui finissent par provoquer une fragmentation de l’ego/self.

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