Construction d’une grammaire commune de la démarche «Paysages, Territoires, Transitions» par l’analyse des discours et enquête sur les trajectoires professionnelles : de quelques imaginaires de la recherche et partages politiques des savoirs

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Mathilde Girault, « Construction d’une grammaire commune de la démarche «Paysages, Territoires, Transitions» par l’analyse des discours et enquête sur les trajectoires professionnelles : de quelques imaginaires de la recherche et partages politiques des savoirs », HAL-SHS : architecture, ID : 10670/1.hihxye


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Résumé Fr

"Ce rapport rend compte d’une recherche engagée pendant la démarche de préfiguration «Paysages, Territoires, Transitions» en vue de proposer une grammaire commune des discours issus de ce temps, tout en mettant en lumière quelques singularités des positions de chacun-e par une enquête complémentaire sur les trajectoires professionnelles de neuf participant-e-s regulier-ère-s.Partant du constat d’un incertain généralisé produit essentiellement par les problématiques environnementales (dérèglement climatique, risques accrus d’événements extrêmes, perte debiodiversité...) et conduisant à un doute pragmatique et programmatique sur l’action, ladémarche «Paysages, Territoires, Transitions» a réuni des praticiens de différents champs d’action (architecture, paysagisme, aménagement...) et structures (services concentrés etdéconcentrés de l’Etat,CAUE, PNR...), mais aussi des chercheurs de différentes disciplines. Elle suppose par là que l’ouverture constitue une condition minimale pour assurer une pluralité des registres de connaissances à la hauteur de la complexification des phénomènes. Or les premières réunions et journées d’études ont témoigné d’une difficulté à assurer de réels frottements des savoirs par leur confrontation et mises en risque (malgré les méthodes proposées aussi bien par le Secrétariat du programme, les accompagnateurs extérieurs que deschercheurs). Il ressort de cette analyse les prémisses d’une grammaire commune:-autour de quelques grandes notions qui revisitent les catégories de l’entendement de la complexité des phénomènes: l’expérience du vécu comme registre d’entendement, le bricolage comme reconstruction anthropologique d’un sens à l’agir;-d’autres centrées sur l’épistémologie de l’action avec ici la recherche-action comme méthodologie visée, en raison de sa déconstruction des partages politiques dessavoirs;-ou encore sur le positionnement par rapport à la transition, témoignant d’une volonté de transformation sociale et d’engagement en sa faveur comme espoir placé dans la démarche «Paysages, Territoires, Transitions».Si nous parlons ici de prémisses d’une grammaire commune, c’est que les formes de l’agir choisies pour et par la transformation sociale souhaitée recouvrent des positions encore hésitantes. A cet égard, ce rapport a été pensé selon un format hybride, répondant aux attendus soulevés durant la démarche à certains moments (efforts d’explicitation de saposition épistémologique, réduction des références bibliographiques aux principales...), et explicitant notions et positions à d’autres moments pour être pris en main par les équipes locales (lexique, entrées thématiques ou dialectiques des sous-parties...)."En ligne : http://www.environnement-urbanisme.certu.equipement.gouv.fr/construction-d-une-grammaire-commune-de-la-a154.html

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