Adieux maritimes : la mer comme tombeau et renouveau de la poésie. Résurgences du propemptikon au service d'une poétique du rien chez Mallarmé

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2018

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Sandra Poujat, « Adieux maritimes : la mer comme tombeau et renouveau de la poésie. Résurgences du propemptikon au service d'une poétique du rien chez Mallarmé », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.hkiee8


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Cet article étudie la façon dont Mallarmé exploite dans ses deux poèmes « Salut » et « Brise marine » la forme du propemptikon, genre maritime de la poésie lyrique de l’Antiquité grecque, afin de montrer comment Mallarmé s’inscrit dans les imaginaires stylistiques de la seconde moitié du XIXe siècle en infléchissant cette forme au service d’une poétique qui exalte le trivial du quotidien, tournant ainsi le dos à la grande poésie cosmique et idéaliste.

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