Les réappropriations temporaires comme laboratoire de la ville : les réappropriations temporaires d’espaces abandonnés à Berlin comme nouvelle forme d’urbanisme, l’exemple du Prinzessinengarten

Fiche du document

Auteur
Date

2017

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess




Citer ce document

Corinne Vial, « Les réappropriations temporaires comme laboratoire de la ville : les réappropriations temporaires d’espaces abandonnés à Berlin comme nouvelle forme d’urbanisme, l’exemple du Prinzessinengarten », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.hs2ljw


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

À Berlin, les espaces vides sont nombreux et beaucoup sont réappropriés. Ce mémoire s'intéresse aux différentes formes de réappropriations temporaires. Le lieu choisi comme terrain d'études est le Prinzessinengarten, un jardin urbain à Berlin. L’objectif n'est pas de s'y intéresser sous l’angle des particularités propres d’un jardin urbain, mais plutôt en cherchant à comprendre comment fonctionne une réappropriation temporaire, comment les acteurs s’organisent et quelles stratégies ils développent. En quoi ces nouveaux types de projets se différencient des squats et des anciens projets de réappropriation et quelles dynamiques expérimentent-ils ? Est-ce que les modèles testés peuvent être développés à une plus grande échelle ? Telles sont les questions que soulève ce travail.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en