Le kitsch : une esthétique hors-normes ?...

Fiche du document

Date

1 novembre 2022

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2726-0399

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2726-0399

Licences

Licence Creative Commons – Attribution 4.0 International – CC BY 4.0 , info:eu-repo/semantics/openAccess



Sujets proches Fr

Camp (style) Kitch Rétro

Citer ce document

Lionel Souquet, « Le kitsch : une esthétique hors-normes ?... », Pergola, pépinière de revues du Grand Ouest en libre accès, ID : 10.56078/motifs.766


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

Cet article se propose d’explorer la notion de kitsch, apparue à la fin du xixe siècle. D’abord perçu comme esthétique et art de vivre de la bourgeoisie triomphante, le kitsch va peu à peu être associé à la classe moyenne puis aux milieux populaires. Tout au long du xxe siècle, et surtout avec l’entrée dans la postmodernité à partir des années 1960, les choses commencent à changer de perspective. Selon Gillo Dorfles, le kitsch naîtrait d’une conception de l’art basée sur l’ascension sociale et la consommation. Il apparaît dès que le sacré est démystifié et remplacé par des fétiches et de nouveaux rites en relation avec l’homme-machine, le sport, la musique, la danse. Les « hommes de mauvais goût » jouiraient de tout ce qui est de mauvais goût car, selon Dorfles, ils confondent jugement esthétique et jugement éthique. Le kitsch serait plein de faux dramatisme, de pathos et de sentimentalisme.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en