“My fatherland is Germany, my motherland is Turkey”: The evolution across the life course of transnational ways of being and belonging of second generation Turkish-Germans.

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20 décembre 2016

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Sciences Po

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Christine Barwick, « “My fatherland is Germany, my motherland is Turkey”: The evolution across the life course of transnational ways of being and belonging of second generation Turkish-Germans. », Archive ouverte de Sciences Po (SPIRE), ID : 10670/1.i1b9in


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Nous vivons dans un monde ou un nombre augmentant de la population participe à la mobilité spatiale ou des pratiques transnationales. Bien que nous ayons une bonne connaissance des pratiques transnationales des immigrés, ainsi que de l'élite mobile, on sait moins sur le transnationalisme de la deuxième génération des migrants, en particulier en Europe. Sur la base d'entretiens avec des Turcs de la deuxième génération à Berlin, je vais retracer leurs façons transnationales d'être et d'appartenir à travers leur cours de la vie. En tant qu'enfants de travailleurs immigrés, ils ont été socialisés de façon transnationale, et ils vivent encore une vie transnationale à l'âge adulte. Ils s'engagent dans des modes d'être transnationaux, par exemple en visitant régulièrement la Turquie. Ils exposent également des formes d'appartenance transnationales, s’identifiant à la fois comme allemand et turc. Cependant, il y avait aussi des périodes dans leur vie où ils se désengageaient des pratiques transnationales et rejetaient une identification transnationale. Cela est étroitement lié à des sentiments de rejet par les membres (indigènes) de l’Allemagne, mais aussi la Turquie.

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