7 mars 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Florence Léglise, « Marquina, premier traducteur des Fleurs du Mal », Presses Sorbonne Nouvelle, ID : 10670/1.i3w9oz
« L’oreille est le sens préféré de l’attention. Elle garde, en quelque sorte, la frontière du côté où la vue ne voit pas. » Paul Valéry, Tel Quel. En 1905, Marquina publie la première traduction espagnole de Les Fleurs du Mal. Avant de rendre compte de mes observations sur les qualités rythmiques de cette traduction qui fit grand bruit en 1905, une introduction théorique sur la traduction de la poésie en général abordera les problèmes spécifiques que pose le vers qui, s’il ne suffit certes pa...