Abbeville Town Hall, Symbol of the Renaissance of a Martyred City L’hôtel de ville d’Abbeville. Le symbole de la renaissance d’une ville martyre En Fr

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2018

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Léo Noyer Duplaix et al., « L’hôtel de ville d’Abbeville. Le symbole de la renaissance d’une ville martyre », HAL-SHS : architecture, ID : 10.4000/insitu.17171


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Résumé En Fr

Abbeville Town Hall was destroyed on 20 May 1940 by German aviation. From 1943 to 1957, several reconstruction projects were put forward by architects and city planners including Jacques and Pierre Gréber and Clément Tambuté. The new building (whose paternity remains complex) is an office building connected by a gallery to a contemporary belfry, the symbol of the historical continuity of communal power. The building was inaugurated in October 1960 by Max Lejeune, who was then mayor of Abbeville and an important local political figure during the post-war boom years. This event was also the opportunity to celebrate the rebirth of a martyred city.

Ruiné par l’aviation allemande le 20 mai 1940, l’hôtel de ville d’Abbeville fut l’objet, de 1943 à 1957, de projets de reconstruction auxquels participèrent notamment les architectes et urbanistes Jacques et Pierre Gréber ainsi que Clément Tambuté. Le nouvel édifice, dont la paternité reste complexe, est constitué d’un bâtiment administratif relié par une galerie à un beffroi contemporain, symbole de la continuité historique du pouvoir communal. Organisée en octobre 1960 par Max Lejeune, édile d’Abbeville et figure politique picarde des Trente Glorieuses, l’inauguration de la nouvelle maison communale fut l’occasion de célébrer la renaissance d’une ville martyre.

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