Il Male come riflesso che fa tutt'uno con il Bene: representations of violence in the contemporary Italian novel (2008-2017) Il Male come riflesso che fa tutt'uno con il Bene : représentations de la violence dans le roman italien contemporain (2008-2017) En Fr

Résumé En Fr

This thesis analyses the representations of violence in the Italian novel of the 2000s, studying eleven novels published between 2008 and 2017.The thesis is a narratological study composed of three parts: the first part analyses the "friendly" characters, i.e. the characters who act without crossing a certain limit; in the second part, the "enemy" characters are analysed, i.e. those who do not set any limit to their actions; in the last part, the thesis focuses on the characters who play a central role in the conclusions of the novels: in these characters, we can recognise the judgement of the narrator’s voice on the events that have involved both the friendly and the enemy character. In conclusion, we show how the violence in these novels turns out to be the representation of an extreme version of the neoliberal logics that govern contemporary society, in which competition has taken an increasingly central role.

Cette thèse analyse les représentations de la violence dans le roman italien des années 2000, en étudiant onze romans publiés entre 2008 et 2017. La thèse est une étude narratologique composée de trois parties : la première partie analyse les personnages « amis », c’est-à-dire les personnages qui agissent sans franchir une certaine limite ; dans la deuxième partie, on analyse les personnages « ennemis », c’est-à-dire ceux qui ne fixent aucune limite à leurs actions ; dans la dernière partie, la thèse se concentre sur les personnages qui jouent un rôle central dans les conclusions des romans : dans ces personnages, on peut reconnaître le jugement de la voix narratrice sur les événements qui ont impliqué les personnages amis et ennemis. En conclusion, nous montrons comment la violence dans ces romans s’avère être la représentation d’une version extrême des logiques néolibérales qui régissent la société contemporaine, dans laquelle la concurrence a pris un rôle de plus en plus central.