Live and enlighten the therapeutic relationship in psychomotricity - What supervision for psychomotor therapists? Vivre et éclairer la relation thérapeutique en psychomotricité - Quelle supervision pour les psychomotriciens ? En Fr

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18 juin 2021

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Tiphaine Milcent, « Vivre et éclairer la relation thérapeutique en psychomotricité - Quelle supervision pour les psychomotriciens ? », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.ilqoik


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Résumé En Fr

The psychomotor therapist uses his knowledge, his interpersonal skills, his know-how, his mediation tools, his singularity, his sensitivity and his personal history. He is involved in the relationship, with his corporeality, to support the patient in living his own corporeality in an optimal or less painful way. What is at play in this relationship, beyond the therapeutic alliance? Does psychomotricity engage the professional more than other rehabilitators and therapists? How can the psychomotor therapist ignore an elaboration on his personal solidity? Where can one find aids to support his personal theoretical and practical anchoring? What happens in the transferential dynamics? It is in particular through the practice of supervision that the psychomotor therapist can expand upon these questions. You still have to know what is called « supervision ». After analyzing the places where the psychomotor therapist elaborates on his corporeality, and after having studied the polysemy of the term, the fundamental question of this thesis therefore becomes: what is the adequate supervision of the psychomotor therapists?

Le psychomotricien exerce avec son savoir, son savoir-être, son savoir-faire, ses outils de médiation, sa singularité, sa sensibilité, son histoire personnelle, …. Il est impliqué dans la relation, avec sa corporéité, pour accompagner le patient à vivre la sienne d’une façon optimale ou moins douloureuse. Qu’est-ce qui se joue dans cette relation, au-delà de l’alliance thérapeutique ? Est-ce que la psychomotricité engage le professionnel davantage que les autres rééducateurs et thérapeutes ? Comment le psychomotricien peut-il faire l’impasse d’une élaboration sur sa solidité personnelle ? Où trouver des étayages pour soutenir son ancrage théorique et pratique ? Que se passe-t-il dans les dynamiques transférentielles ? C’est notamment à travers la pratique de la supervision que le psychomotricien peut prolonger ces questions. Encore faut-il savoir ce que l’on appelle « supervision ». Après analyse des lieux où le psychomotricien élabore sur sa corporéité, et après avoir étudié la polysémie du terme, la question fondamentale de ce mémoire devient donc : quelle supervision pour les psychomotriciens ?

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