Capital social de l'entreprise familiale et efficience organisationnelle : Propositions théoriques pour un modèle de transmission par le canal des coûts bureaucratiques

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2012

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Régis Cœurderoy et al., « Capital social de l'entreprise familiale et efficience organisationnelle : Propositions théoriques pour un modèle de transmission par le canal des coûts bureaucratiques », M@n@gement, ID : 10670/1.im1iq2


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Des travaux de recherche récents ont mis en avant la spécificité de l’entreprise familiale sous l’angle de son capital social issu de l’interpénétration des sphères privées (la famille) et professionnelles (l’organisation). Dans le prolongement de ces nouveaux apports, nous proposons ici d’expliciter théoriquement par quel canal ce capital social de la famille peut se traduire en efficience organisationnelle, ce qui constitue pour l’instant un « chaînon manquant » dans la littérature sur les entreprises familiales. Après avoir précisé ce mécanisme, l’analyse est développée autour de deux principales sources de variation, à savoir la taille de l’entreprise et la génération impliquée – facteurs qui tendent à évoluer à travers le temps. Nous soutenons ainsi que la dilution de la famille dans la propriété ou dans la gestion et la multiplication des acteurs et des divergences d’intérêts possibles peuvent à terme finir par handicaper l’entreprise familiale en termes d’efficience organisationnelle et limiter ses capacités de survie vis à vis de l’entreprise non familiale.

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