La vie des portraits grecs.: Statues-portraits du Ve au Ier siècle av. J.-C. - Usages et re-contextualisations

Fiche du document

Date

2017

Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes




Citer ce document

François Queyrel et al., « La vie des portraits grecs.: Statues-portraits du Ve au Ier siècle av. J.-C. - Usages et re-contextualisations », HAL-SHS : archéologie, ID : 10670/1.injiwg


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Les portraits en ronde-bosse, c'est-à-dire les représentations plastiques de personnages historiques, constituent l'un des traits caractéristiques de la culture visuelle du monde antique gréco-romain. Cet ouvrage innove en mettant délibérément l'accent sur la vie des statues après leur exposition – c'est-à-dire sur la communication et le rapport que les acteurs sociaux entretiennent avec les portraits. Ceux-ci sont étudiés en tant que médias de la mémoire dans une perspective matérielle, spatiale, urbanistique, topographique et mentale. La durée de leur présence physique est ainsi interprétée en relation avec les transformations de leurs contextes d'utilisation et de réception.L'étude commence au début du ve siècle av. J.-C. : c'est le moment où l'individualisation physionomique devient un phénomène important dans la sémantique des portraits, qui changent de signification dans l'espace de la polis. La période qui s'étend du ive au ier siècle voit l'apogée du portrait grec, en particulier sous la forme des statues honorifiques, qui peuplèrent en grand nombre les places publiques et les temples. Si l'accent est mis sur des lieux emblématiques du monde grec, qui offrent un riche matériel (notamment Délos, Athènes, les sanctuaires panhelléniques et Pergame), des cas moins connus sont également exploités.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en