Le métier de modiste, des imaginaires patrimoniaux à une communication raisonnée : Sandrine Bourg, créatrice parisienne

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27 octobre 2016

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Lionel Masse, « Le métier de modiste, des imaginaires patrimoniaux à une communication raisonnée : Sandrine Bourg, créatrice parisienne », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.is18p8


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Les métiers d’art ont une place à part dans le paysage institutionnel français. Ils se voient aidés par la puissance publique. Ils occupent une place particulière dans l’imaginaire collectif et dans le paysage économique national.Le métier de modiste est quant à lui peu connu du grand public. La haute mode est une discipline exercée par quelques passionnés. Sa place dans l’espace médiatique est très marginale. Le chapeau, d’une façon générale, n’est plus un accessoire du quotidien. Les professionnels du chapeau se répartissent en deux familles : les chapeliers qui produisent de manière mécanique un grand nombre de pièces toutes identiques entre elles et les modistes qui fabriquent manuellement des pièces uniques. Ces deux catégories coexistent dans l’espace médiatique, le plus souvent ils utilisent les mêmes médias et médiations. Leurs intentions peuvent différer car leurs capacités de production différent elles-mêmes. Chacun bénéficie des retombées médiatiques des autres.Dans un monde communicationnel de plus en plus digital quelle place peut, doit occuper le métier de modiste et sa production ? Comme la plupart des métiers d’art celui de modiste est éloigné des médiations numériques qui pourtant prennent une importance croissante. Ils ne peuvent pas, s’ils veulent survivre et se développer, ne pas être présents et actifs dans ces réseaux.Comment accompagner cette profession dans sa communication, comment développer son empreinte virtuelle et comment lui permettre de s’épanouir pleinement sur les réseaux sociaux ? Ce sont les questions auxquelles nous avons tenté de répondre dans ce travail.L’artisan de demain sera un artisan 3.0, maîtrisant à la fois les techniques propres à sa production artisanale et celles de son environnement numérique et médiatique.

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