L’idée du réveil est impensable. Mais le réveil n’en demeure pas moins une expérience dont il s’agit de savoir de quelle(s) guise(s) du réel elle s’oriente. Le paradigme du rêve et du sommeil semble indiquer que le réveil s’articule à l’objet, en tant qu’objet cessible dans son rapport à la demande de l’Autre, dans les cauchemars ou dans les rêves d’orgasme. La fonction de l’angoisse y est donc intéressée. En outre, le réveil participe du temps logique, et particulièrement du moment de conclure. Il concorde avec une limite dans la structure et, sur ce point, certaines références orientalistes de Lacan éclairent en partie ses coordonnées.
The idea of waking up is unthinkable. And yet waking up remains an experience for which we need to determine under which guise(s) of the real it is orientated. The paradigm of dreaming and sleeping seems to indicate that waking up is linked to the object, as an object that can be given when it comes to the demand of the Other, in nightmares and dreams of orgasms. It therefore concerns the function of anxiety. Moreover waking up pertains to the logical time and more particularly to the moment to conclude. It coincides with a limit in the structure and, on this point, some orientalist references cited by Lacan partly shed light on its coordinates.
La idea de despertar es impensable. Pero el despertar es, sin embargo, una experiencia de la que se trata de saber hacia dónde se orienta la realidad. El paradigma del sueño y de dormir parece indicar que el despertar se articula al objeto, como un objeto transferible en su relación con la petición del Otro, en las pesadillas o en los sueños de orgasmo. Por lo tanto, la función de la angustia está interesada en esto. Además, el despertar participa en el tiempo lógico, y particularmente en el momento de la conclusión. Coincide con un límite en la estructura y, en este punto, algunas de las referencias orientalistas de Lacan arrojan algo de luz sobre sus coordenadas.
