2020
Cairn
Haouès Seniguer, « Jeux de pouvoirs au Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie) », Confluences Méditerranée, ID : 10670/1.ixz3lt
« Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit et l’obéissance en devoir. » ( Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social, I, 3) « On se soumet à l’autorité et au pouvoir d’autrui pour plus d’un motif : on est conduits par la bienveillance qu’on nous témoigne, par l’importance des bienfaits reçus, par la supériorité en valeur, par l’espoir d’un profit à en tirer, par la crainte d’être portés à l’obéissance, par l’attente d’un don généreux, par les promesses qu’on nous fait, ou enfin, comme il arrive souvent dans notre république, par vénalité. » ( Cicéron, Traité des devoirs, II, VI, paragraphe 22)