Les arts du mime et du geste : la quête d'une reconnaissance

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1 octobre 2020

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Expresión mímica

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Élise Torcoletti, « Les arts du mime et du geste : la quête d'une reconnaissance », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.j04ine


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Pour saisir la diversité des formes artistiques que l’on retrouve dans les arts du mime et du geste afin de définir ce genre et pour comprendre les différents discours portés par les acteurs de la reconnaissance, il sera nécessaire dans un premier temps de faire un bref rappel historique qui permettra de fonder et légitimer le renouveau de cet art. Nous rencontrerons les figures tutélaires que sont Étienne Decroux, Jacques Lecoq et Marcel Marceau ainsi que les images d’Épinal qu’ils ont laissées et qui sont devenues lourdes à porter. Nous verrons que les années 1970 ont été riches de tentatives pour le renouveau du mime mais que tout semble s’être concrétisé en 2008. Cette année-là sera abordée comme celle d’un nouvel élan et celle de la création d’une nouvelle appellation que sont « les arts du mime et du geste ». Ce premier temps se terminera sur le regard que porte les interviewés sur cette appellation et sur les autres dénominations possibles de ce genre. Dans un second temps, nous poursuivrons avec la recherche de caractéristiques communes par le biais des formations des artistes et de leur processus de création afin de différencier les arts du mime et du geste des autres genres et disciplines portant un grand intérêt au corps. Ce qui mènera à s’interroger sur les entités constituées pour porter cette recherche de reconnaissance, sur leur discours et notamment sur le manque de visibilité et de personnalités reconnues pour les accompagner. Ceci nous conduira, dans un dernier temps, à questionner la reconnaissance du genre à travers le regard de l’institution. Nous verrons l’écoute qu’elle lui porte et l’aide qu’elle lui confère à sa structuration. Ce sera aussi le temps de développer une réflexion sur la persistance des catégories artistiques au sein de l’institution alors qu’elles semblent être de moins en moins présentes sur la scène. Cela contribuant à rendre plus difficile encore la diffusion des spectacles des arts du mime et du geste.

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