Partager l'en-deça et l'au-delà de l'expérience urbaine

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26 septembre 2019

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Laure Brayer, « Partager l'en-deça et l'au-delà de l'expérience urbaine », HAL-SHS : architecture, ID : 10670/1.j1s6x0


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Résumé Fr

Cette présentation propose deux petits déplacements par rapport à la thématique de la journée intitulée "Filmer les marges urbaines". Ainsi, il s’agit moins de considérer l’urbain que l’expérience de l’urbain, et nous suggérons d'aborder la question des marges urbaines à partir de ce qui est marginal dans cette expérience urbaine.Ce que nous proposons alors de considérer ici comme marge, est en fait la part insignifiante de l’expérience urbaine, c’est-à-dire la part sensible de cette expérience, et, à travers elle, le rôle de l’ambiance. L’hypothèse principale que nous formulons à l'égard du film, c’est que les images filmiques portent en elles une capacité d’expression du sensible, alors que le registre sensible se fait habituellement discret dans notre compréhension de l’expérience urbaine car il se situe en-deçà de la perception, et que, de ce fait, il est aussi tenu à la marge dans les démarches de conception d’espaces publics urbains. Il y a donc un enjeu éthique et politique à considérer la part sensible et insignifiante de l’expérience urbaine et à la faire surgir dans les débats publics, afin de penser et de concevoir des espaces urbains qui intègrent des préoccupations d’ordre sensible.

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