Autopsie du poème qui ne chante plus. La poésie nahuatl de l’ancien Mexique au chevet du poème de notre temps

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2015

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Patrick Saurin, « Autopsie du poème qui ne chante plus. La poésie nahuatl de l’ancien Mexique au chevet du poème de notre temps », Topique, ID : 10670/1.j9btby


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Aujourd’hui, on assiste à un effacement du chant dans le poème. Dans un premier temps, nous interrogerons les raisons de cette disparition en essayant de vérifier si elle est aussi manifeste qu’on le dit. Un dialogue improvisé entre la poésie de Stéphane Mallarmé et les chants en langue nahuatl des anciens Mexicains nous permettra d’apporter quelques éléments de réponse. Dans un second temps, une réflexion autour de la traduction d’un chant nahuatl et d’un poème de Paul Celan viendra nous rappeler que l’essentiel de la poésie est la relation, le partage, dans un mouvement qui transcende l’espace et le temps.

Today, we are witnessing the decline of singing in poetry. Firstly, we shall question the reasons for this disappearance by attempting to verify whether this decline is indeed as clear as it is thought. A dialogue improvised between Stéphane Mallarmé’s poetry and ancient Mexican songs in the Nahuatl language will provide some elements towards establishing an answer. Secondly, a reflection on the translation of a Nahuatl song and a poem by Paul Celan will serve to remind us that the central issue of poetry is creating bonds and sharing, creating a movement which transcends both space and time.

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