Access to the written word of the deaf child: what complementarities between the French Sign Language (LSF) and Cued Speech L’accès à l’écrit de l’enfant sourd : quelles complémentarités entre la Langue des Signes Française (LSF) et le Langage Parlé Complété (LPC) ? En Fr

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20 juin 2018

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Florence Ferran, « L’accès à l’écrit de l’enfant sourd : quelles complémentarités entre la Langue des Signes Française (LSF) et le Langage Parlé Complété (LPC) ? », HAL-SHS : sciences de l'éducation, ID : 10670/1.jd7mhi


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Résumé En Fr

This work explores the way in which the young deaf accesses the written language, written language in the sense of the production of writings. We will, first of all, find out what a deaf student produces in class. We will observe a difference between the deaf using the French Sign Language (LSF) and the oral deaf mastering Cued speech (LPC) by favoring, for one, the semantic field and, for the other, the phonological approach of the language. In view of the difficulties identified in the two types of writing, a problematic revolves around the association of French Sign Language and Cued Speech in the hypothesis of combining the semantic field, the phonological path and the appearance scriptural necessary for the production of writings.Despite resistance and context, the innovative nature of this work lies in the joint exploitation by the young deaf, the French Sign Language and Cued Speech, as favoring access to the written word. This assumes that the deaf, from an early age, appropriates these two communication toolsWe will discuss the obstacles that this problem may face. It is about the historical and institutional realities

Ce travail explore la manière avec laquelle le jeune sourd accède à la langue écrite, langue écrite au sens de la production d’écrits. Nous ferons, tout d’abord, le constat de ce que produit un élève sourd en classe. Nous observerons une différence entre l’individu sourd utilisant la Langue des Signes Française (LSF) et l’individu sourd oraliste maitrisant le Langage Parlé Complété (LPC) en privilégiant, pour l’un, le champ sémantique et, pour l’autre, l’approche phonologique de la langue. Au regard des difficultés recensées dans les deux types d’écrits une problématique s’articule autour de l’association de la Langue des Signes Française et du Langage Parlé Complété dans l’hypothèse de combiner le champ sémantique, la voie phonologique et l’aspect scriptural nécessaires à la production d’écrits.Nous évoquerons les obstacles auxquels cette problématique risque de se heurter. Il est question ici des réalités historiques et institutionnelles dans lesquelles se trouvent aujourd’hui les débats autour de la surdité.En dépit des résistances et du contexte, le caractère innovant de ce travail réside dans l’exploitation conjointe par le jeune sourd, de la Langue des signes Française et du Langage Parlé Complété, comme favorisant l’accès à l’écrit. Ceci suppose que l’individu sourd, dès son plus jeune âge s’approprie ces deux outils de communication

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