Vers justes ou faux dans les Amours jaunes de Corbière (1873) ?

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2019

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Benoît de Cornulier, « Vers justes ou faux dans les Amours jaunes de Corbière (1873) ? », HAL-SHS : linguistique, ID : 10670/1.jgmlp1


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La plupart des poèmes (neuf dixièmes environ) des Amours jaunes de Corbière 1873, ou des pièces métriques qu'on peut y distinguer, sont périodiques en ce sens qu'elles sont constituées de vers d'un, deux ou trois mètres réapparaissant toujours dans le même ordre. Toutes ont un mètre de base simple (≤8) ou composé (6-6, 5-5 ou une seule fois 4-6). Pour dégager ces généralités sont examinées des singularités dans quelques poèmes : « Pudentiane » (changement de mètre de base en plein sonnet, emploi du 5-5 en valeur taratantara), « Soneto a Napoli » (clausule finale étrange), « Épitaphe » (trou métrique et trou référentiel), « À la mémoire de Zulma » (trou métrique), parodies de La Fontaine (modulation métrique initiale), « À mon chien Pope » (modulation métrique finale complexe), « Le douanier » (passage du 6-6 au 5-5 en valeur taratantara, paire sémantiquement corrélée de vers faux).

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