Jean-Marie Winkler. Au travers des murs du cachot. Thomas Bernhard auteur-bâtisseur. Paris, Tirésias, 2013. ISBN : 2915293767.
Fiche du document
17 juillet 2019
- handle: 10670/1.k69kj8
- hal: hal-02187171
info:eu-repo/semantics/OpenAccess
Sujets proches
Sixties (Twentieth century decade) 60s (Twentieth century decade) 1960s Relationships, Love-hate Reminiscence processes Personal development Growth (Psychology) Personal growth Self-improvement ISBN (International Standard Book Numbers) Western art (Western countries) Fine arts Iconography Arts, Fine Art, Occidental Arts, Visual Visual arts Occidental art Art, Visual Art, Western (Western countries) Sixties farm-house Republic of Austria International Standard Book Number Número internacional normalizado para libros Citadelle Forteresse Années soixante (vingtième siècle) 1960 (décennie) Soixante, Années (vingtième siècle) Années 60 (vingtième siècle) Décennie 1960 Agencement Adaptation aux besoins Personnalisation Organisation de l'espace Installation Amour-haine Relations amour-haine Haine et amour Amour et haine Réminiscence Passé, Rappel du Souvenance ISBN Numéros normalisés internationaux du livre International Standard Book Numbers Beaux-arts Arts plastiques Oeuvres d'art Arts visuels Réussite Self made men Gagnants objets petit objet honestum image-représentation Lutèce République d'AutricheCiter ce document
François Genton et al., « Jean-Marie Winkler. Au travers des murs du cachot. Thomas Bernhard auteur-bâtisseur. Paris, Tirésias, 2013. ISBN : 2915293767. », HAL-SHS : histoire de l'art, ID : 10670/1.k69kj8
Métriques
Partage / Export
Résumé
Thomas Bernhard a laissé une oeuvre, essentiellement dramatique et narrative… et sa ferme d'Ohlsdorf en Haute-Autriche, un grand bâtiment qui l'attache doublement à l'Autriche, objet constant de son amour-haine, par un lien historique, le bâtiment remontant au XIV e siècle, et social, l'auteur s'attribuant le rôle d'un gentleman-farmer. En cinq chapitres fort bien documentés et bellement illustrés, Jean-Marie Winkler montre qu'il faudra incorporer à l'oeuvre de l'écrivain ce bâtiment qui est devenu un musée : acquis au milieu des années 1960, lorsque viennent les premiers succès, Thomas Bernhard n'a cessé de travailler à l'aménagement d'un lieu qu'il façonnait à l'image du souvenir qu'il voulait laisser de soi.