Architecture, territoire, information 4.0 : le lac Saint-Jean et la rivière Saguenay : la « valley section » à l’heure des technologies de l’information et des enjeux environnementaux

Fiche du document

Date

22 janvier 2024

Discipline
Périmètre
Langue
Identifiants


Citer ce document

« Architecture, territoire, information 4.0 : le lac Saint-Jean et la rivière Saguenay : la « valley section » à l’heure des technologies de l’information et des enjeux environnementaux », Papyrus : le dépôt institutionnel de l'Université de Montréal, ID : 10670/1.kag88k


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

La présente publication recueille les enquêtes conduites par les étudiants dans l’atelier et le séminaire de recherche du trimestre d’hiver 2023 à l’École d’architecture de l’Université de Montréal. Les étudiants, dirigés par l’équipe d’enseignants composée de Gabriel Payant, Alessandra Ponte et Alessia Zarzani, ont été confrontés à la proposition suivante : « Dans cette troisième itération d’Architecture/Territoire/Information 4.0, nous proposons d’explorer la région hydrographique de la rivière Saguenay et du lac Saint-Jean. La rivière Saguenay prend sa source dans le lac Saint-Jean, à Alma. Immédiatement séparé en deux bras, la Petite et la Grande Décharge, le Saguenay, après un parcours d’environ 155 kilomètres, atteint le fleuve Saint-Laurent. Son important bassin hydrographique draine une vaste portion de la province et ses eaux tumultueuses, marquées par des rapides et des chutes, ont été apprivoisées pour fournir une importante source d’énergie hydroélectrique. Le premier de ces systèmes de barrages et de centrales est situé sur l’île formée par la Petite et la Grande Décharge. Les deux branches se rejoignent à la Pointe des Américains, là où la propre rivière Saguenay commence réellement sous la forme d’un vaste réservoir. La rivière se sépare à nouveau à Shipshaw, où se trouvent deux autres barrages : la centrale de Shipshaw du côté nord et la centrale de Chute-à-Caron du côté sud. Les déversoirs des deux barrages se rejoignent entre Chicoutimi et Jonquière, où le Saguenay devient navigable. En montagnais, Chicoutimi signifie « jusqu’où c’est profond ».

document thumbnail

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en