De la liberté religieuse comme droits de l'homme à la religion comme composante diplomatique. Comparaison états-unienne.

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2017

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Blandine Chelini-Pont, « De la liberté religieuse comme droits de l'homme à la religion comme composante diplomatique. Comparaison états-unienne. », HAL-SHS : histoire des religions, ID : 10670/1.l3y1mu


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La liberté religieuse a pris une dimension considérable dans la promotion internationale des Droits de l'homme. Elle est un objet de militance pour des centaines d'acteurs internationaux non étatiques, ONG Droits de l'homme ou ONG confessionnelles 2. Elle suscite depuis des lustres une politique très active du Saint-Siège ou des grandes organisations oecuméniques et interconfes-sionnelles. Elle a acquis un statut spécifique auprès de l'ONU, qui a créé un poste de rapporteur spécial dédié à la liberté reli-gieuse 3. L'OSCE vient de se doter d'un Senior Adviser, associé à un Panel d'experts, au sein de son Bureau des Droits de l'homme. Les États-Unis, pour leur part, ont été les premiers à faire une diplomatie officielle de la liberté religieuse, depuis une loi fédérale, la loi IRFA, votée sous Bill Clinton en 1998, les obligeant à intégrer cette liberté dans toutes leurs actions diplomatiques. Une Commission mixte, gouvernement-Congrès américain, a été également mise en place par cette loi.

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