Christine Pérès, « Le regard et les mains de l'assassin de la pleine lune. Plenilunio (1997), Antonio Muñoz Molina », HAL-SHS : littérature, ID : 10670/1.la1i1e
Dans ce roman, l'écriture du corps est ici mise au service d'une méditation sur le mal, sur son incompréhensible omniprésence, et donne lieu à une réflexion sur la dialectique du désir et de la loi.